Des Ethnologues Féminines Au Pays Des Hommes Nus… Chapitre 4 : Sybille, Dentiste.

Des ethnologues féminines au pays des hommes nus…
Chapitre 4 : Sybille, dentiste.
Un patient joueur… Et la dentiste qui décide de jouer aussi… Pour l’épisode le plus chaud de la collection…
La journée touchait à sa fin. Pas très agréable cette journée. Des extractions que je déteste parce que d’une part ça fait mal aux patients, et d’autre part parce que c’est beaucoup d’énergie… Ces putains de racines qui s’accrochaient aux gencives ! Et puis des patients assez peu soignés… Et des bouches pas nettes, des haleines fétides… Il y a des journées comme ça. Machinalement je fais entrer mon dernier client. Machinalement je l’accueille… Et je l’entends me répondre…
- Complètement ?
Interloquée…
- Pardon ?
- Je vous demande si je dois me déshabiller complètement ? »
Bis repetita…
- Pardon ?
- Vous me dites que je dois me déshabiller… Je vous demande alors si je dois me déshabiller complètement…
Je revisite les dernières secondes dans ma tête… Que s’est-il passé que j’aie loupé ? Mais non, je ne vois pas…
Il vient à mon aide en m’expliquant une nouvelle fois…
Je suis rentré dans votre cabinet, et vous m’avez demandé de me déshabiller… Je vous pose alors la question… Dois-je me déshabiller complètement…
Ça y est ! Les cases se remettent en place… J’ai effectivement la mauvaise habitude de recevoir mes patients par une formule passe-partout que je répète à chaque entrée…
- Bonjour, vous pouvez vous déshabiller et ensuite vous installer dans le fauteuil… Tout va bien depuis la dernière fois ?
Et ce monsieur, au demeurant charmant, de demander s’il doit me prendre au mot… Je suis désarçonnée, je ris donc bêtement, et lâche un ridicule :
- Mais non ! Ce ne sera pas nécessaire !
La séance se passe sans problèmes. Il m’indique une douleur sur le côté gauche… Une radio est nécessaire… Ouille ! Racine pourrie… Va falloir extraire ! Je repère également deux petites caries, et un plomb qui a bien vécu et qu’il faudra penser à remplacer.

Un peu trop de sucreries certainement… Mais il se lave les dents régulièrement, ça se voit... Pas d’allusions au petit dialogue de début se séance. Je soigne une des caries et lui propose un autre rendez-vous la semaine suivante pour l’arrachage…
C’est la dernière visite. Je reprends la voiture pour renter à l’appart… J’ai une lasagne au frigo… pas besoin de m’inquiéter pour mon repas du soir… Les embouteillages… Le moment idéal pour permettre à mon esprit de divaguer… Et bien entendu, il revient à ce mec et à sa question surprenante… J’aurais dû le prendre au mot…
L’idée me fait rire toute seule… Oops… Gênée… les autres automobilistes vont me prendre pour une folle… Bah ! non ! Ils vont croire que j’écoute les grosses têtes !
Je ne me laisse plus distraire par mes compagnons d’embouteillage, et me laisse conduire par la voiture qui de toute façon connaît le chemin… Et mon esprit de poursuivre sa rêverie…
Si je l’avais pris au mot… Comment aurait-il réagit ? Il se serait foutu à poil ? Non, pas possible ! Je l’aurais coincé alors ! Et s’il s’était foutu à poil… comment j’aurais réagi moi ?...
Et la voiture se gare devant mon garage, me ramenant à la réalité. Lasagne donc, puis le dernier Tarantino que Martine m’a prêté. Et enfin dodo… Sans rêve…
Ce n’est que le matin du rendez-vous suivant avec l’homme que la séance précédente me revient… Pas le temps d’y penser beaucoup… Juste le temps de me dire que je vais lui proposer de se déshabiller comme je le fais d’habitude… Et s’il me repose la même question… Ce sera oui… Cette fois… Mais il n’osera pas… Comment va-t-il réussir à se défiler… La journée se passe et je suis accaparée par mes patients…
C’est quand j’ouvre la porte de la salle d’attente pour le dernier client que je l’aperçois… Ça me rend brusquement fébrile… Mais je tiens…
- Vous pouvez-vous déshabiller et vous installer dans le fauteuil… Je suis à vous dans deux minutes…
Et…
- Complètement ?
Avec un sourire qui me fait penser qu’il me fait une nouvelle bonne blague…
Je le regarde, hésite une seconde puis…
- Oui… Complètement…
Le gars ôte alors son manteau, puis att son sweet-shirt qu’il retire… Son T-shirt suit le même chemin…
Je m’assieds à mon bureau… Je ne sais si c’est pour encaisser son attitude, apprécier le spectacle ou le narguer par un regard non équivoque…
Il se penche maintenant… délie ses lacets, retire ses baskets… puis ses chaussettes.
Puis il me regarde et, les yeux dans les yeux, il s’attaque à sa braguette… le pantalon glisse. Il est en slip dans mon cabinet… C’est pas possible, il va s’arrêter ! Mais avant que j’aie le temps d’esquisser un geste ou d’exprimer la moindre parole, le slip rejoint le pantalon à ses pieds. L’homme est nu devant moi, la biroute calme, mais à mes yeux triomphante cependant… Un petit sourire, et il va déposer ses fesses sur le fauteuil. Puis s’y couche à poil ! Ah bin merde alors ! Comment je réagis, moi ?
- Non, mais ça va pas la tête ! Vous allez vous rhabiller ou j’appelle les flics !
Non, ça va pas, je l’ai laissé se foutre à poil… J’ai participé à son jeu… Ce serait dégueulasse… je devrais peut-être rire alors, me moquer de lui ? De moi ? De nous ? Ou le féliciter pour son cran ?
Eh non… comme une automate, je vais près de lui et je lui demande d’ouvrir la bouche ! Gourde que je suis ! Un mec est à poil sur mon fauteuil de dentiste, et moi, je lui demande de me montrer ses dents comme si de rien n’était ! Et voilà, c’est parti comme ça… Je ne vois pas comment je pourrais revenir en arrière... comment j’oserais revenir en arrière…
Sa bouche est ouverte, je me concentre, essaie de me rappeler ce que je fais là… Et dans un effort surhumain ( ! ), je me rappelle que c’est cette foutue racine pourrie qu’il faut arriver à enlever… chouette… c’est le genre de truc qui mobilise toute mon énergie… Me faudra bien ça pour arriver à me concentrer.
Je prépare ma piqûre… Et lui ne moufte pas, tranquille… À poil… Faut que je dise ou que je fasse quelque chose quand même ! Mais que dalle… pas d’idées !
Et j’enfonce l’aiguille dans sa bouche… sans lui faire mal… Puis je retourne à mon bureau, me plonger dans mes papiers quelques secondes, le temps que le produit fasse son effet.
Je reviens vers lui… Monsieur présente maintenant une bien belle érection…
- Wouaw, je ne savais pas que ça avait des effets secondaires ce produit.
Et je vais rechercher l’emballage dans la poubelle, pour vérifier la notice…
- Non, ils ne disent rien là-dessus ! Vous vous sentez bien ? Ça à l’air en tous cas !
Yesssssss ! J’ai trouvé cette occasion de reprendre pied dans cette histoire… Et je ne vais plus la lâcher cette occasion… Et je ne vais plus le lâcher, lui !
- Ça va ? Ça dort ? Je reprends professionnellement.

Et je me penche sur sa bouche pour reprendre le travail… Pendant que 80cm plus bas, sa queue palpite à un rythme régulier…
Voilà le moment de procéder à l’extraction… Mais il ne faut pas non plus l’oublier, lui et son érection…
- Je vais vous l’arracher cette dent… Mais avec ce truc là… ça va pas être possible… Ah oui !
Et j’att quelques serviettes qui habituellement servent à mes patients pour s’éponger la bouche et je les étale consciencieusement sur la bête pour qu’elle se cache à ma vue… Les serviettes tressautent à leur tour au même rythme…
Je suis à nouveau dentiste… la dent se casse rapidement... Évidemment la racine pourrie fait son œuvre… Reste à retirer la racine elle-même… qui se casse en morceaux… ça devient plus facile. Surtout ne pas oublier un petit morceau… Je me concentre sur sa bouche et l’homme aussi… Se faire ainsi triturer dans la bouche, ça vous change un homme ! Du coin de l’œil, j’observe que sa virilité triomphante s’est fait la malle…
Voilà… Plus de dent ! Il se rince la bouche ensanglantée att une des serviettes posée sur son zob et se tamponne les lèvres et le menton… Il att l’ensemble des serviettes, et jette le tout dans la poubelle à côté du siège… La bébête me fait un clin d’œil.
- On dirait que le produit cesse de faire son effet… Heureusement que j’en ai fini avec votre dent… Je termine le nettoyage de la gencive, applique deux tampons pour aider au début de la cicatrisation…
- Voilà… Fini !
Et je le laisse sur son siège.
Il se lève, att son pantalon… Non pour l’enfiler… Mais pour sortir son portefeuille ! Je lui fais son attestation, il paie, nous prenons le rendez-vous suivant… Et lui est toujours tout nu…
- D’habitude après ces formalités administratives, je serre la main de mes patients et je les guide vers la porte de sortie… Comment je fais avec vous ?
- Heu… Je vais peut-être me rhabiller d’abord ?
- Ça me semble une bonne idée en effet… Il ne fait pas très chaud dehors !
Et l’homme de réenfiler dans l’ordre T-shirt, sweat-shirt, chaussettes, puis enfin slip, pantalon, godasses et manteau… Pendant que je le regarde faire ne manquant pas un seul de ses gestes !
Puis, naturellement, on se serre la main et on se dit :
- À dans quinze jours pour le rendez-vous suivant
Je m’affale dans le fauteuil de mon bureau…
Ouf ! Un vrai délire ce truc… Mais je m’en suis pas trop mal tirée finalement ! Mais qu’est-ce qu’il veut ce type ? Un obsédé, ça c’est sûr… Mais un obsédé plutôt sympathique… pas vraiment dérangeant pour quelqu’un comme moi qui sait y faire ! Bin oui, je la mérite ma médaille…
C’est évidemment quinze jours plus tard que se passe la suite de l’histoire… la phrase rituelle « déshabillez-vous ».
Mais plus de questions cette fois. Il obtempère… jusqu’au bout. Avec cependant la trique qui bondit dès que le slip la libère…
- Houlà… va falloir calmer ça ! Une petite piqûre ?
L’homme nu sourit en silence et va s’installer dans le fauteuil.
Je ne perds pas le nord… je vais donc préparer ma seringue, puis :
- On y va ?
Et l’homme nu d’ouvrir la bouche… et moi de lui attr le zob et d’approcher ma seringue !
Là, c’est moi qui marque un point. Et un beau ! Il referme la bouche, ne sait que répondre, et observe avec une pointe d’inquiétude, c’est le moins que l’on puisse dire, sa queue dressée emprisonnée dans ma main et la seringue qui s’en approche…
Son air assez ahuri me fait éclater de rire… j’écarte la seringue, amène son érection vers ses cuisses, puis la lâche, la laissant rebondir sur le ventre… J’y pose ensuite la main pour la flatter quelques secondes…
- Oh ! le petit kiki qui avait peur qu’on lui fasse une petite piqûre… Il n’aime pas les piqûres le petit kiki ! Ah mais si on vient chez le dentiste, même si on est un petit kiki, on sait bien qu’on risque d’avoir une piqûre… parce que les dentistes, ils aiment faire des piqûres… Et aux petits kikis encore plus… parce qu’ils n’ont pas l’habitude de les voir se promener dans leurs cabinets de dentistes, les petits kikis… Alors quand un petit kiki se promène dans un cabinet de dentiste… Il faut qu’il sache qu’il doit s’attendre à tout !
- Et son propriétaire aussi… ajoutai-je, en le regardant dans les yeux et en serrant d’une main ferme le petit kiki.
Le petit kiki qui était pourtant de belle taille… Mais mon expérience - non pas mon expérience de professionnelle de la dentisterie mais mon expérience de femme – m’ont bien fait comprendre qu’un homme n’était pas du tout le même si on parlait de son sexe avec des mots tels que « petit zizi », « petite quéquette », « petit kiki » ou si on employait d’autres expressions et par exemple, « ta putain de belle queue », « ton sacré gourdin », « ta bite d’enfer », ta grosse biroute »… Et avec cet homme au demeurant sympathique, qui pourtant avait une queue bien agréable, mais qui avait tenté à mon sens de s’imposer à moi, il me paraissait nécessaire de le remettre à sa juste place ! C’est quand même chez moi ici, c’est mon cabinet. Ce n’est quand même pas un homme, fut-il beau et avec une sacrée paire de couilles et un zob solide, qui va faire la loi chez moi… Je suis la shériffe de mon quartier !
Mais revenons à nos moutons. Le monsieur, à part au centre de son corps, semble calme et paraît également accepter que je maîtrise la situation ! On passe donc à ma pratique professionnelle, et à sa dent cariée. Je travaille comme une vrai pro, pas du tout dérangée par ce zob qui va vibrer sur son ventre pendant toute l’opération. Je termine en m’y intéressant une petite seconde, d’une petite chiquenaude pour annoncer que j’ai terminé et que monsieur peut se rincer la bouche…
Je retourne vers mon bureau, mais j’ai à peine le temps de me retourner, que l’homme nu m’agrippe le bras… il me plaque le dos contre le mur et s’applique à écarter mon beau tablier blanc et à relever ma jupe…
Qu’est-ce que je fais moi ? Je gueule ? Je me débats ? Je me défends ? Et bien non, je me laisse faire ! Je tortille même du cul pour l’aider à faire glisser ma culotte ! Et vlan, il m’enfonce le zob dans la chatte… Wouaw, ça rentre facilement ! Je me rendais pas compte que cette petite séance pourtant très professionnelle m’avait autant excitée, ouvrant la porte à toutes les pénétrations… Pas d’huile nécessaire dans les rouages…
Monsieur semble aussi très excité. Je sens la solidité de son érection qui me laboure les parois… Et j’entends rapidement à sa respiration que la giclée ne va pas tarder… Et c’est fait… Pas eu le temps de jouir moi… Et il se retire. Va chercher une serviette… pour la bouche ! Et s’essuie… le zob ! Il se rhabille sans un regard pour moi, qui reste pantelante appuyée au mur, et avant que j’aie eu le temps de reprendre mes esprits… il me dit au revoir…
Me voilà seule dans mon cabinet, la culotte sur les godasses, les cuisses ruisselantes, et avec au passif, une consultation gratuite… parce qu’il ne m’a pas payé ce con… J’aurais joui… j’aurais encore dit, mais bon, pas eu le temps d’avoir mon orgasme !
Pas d’orgasme… Mais du plaisir, ça oui ! Qu’est-ce que c’était gai cette petite demi-heure… Qu’est-ce qu’elle me plaît l’attitude de cet homme ! Qu’est-ce qu’il me plaît son corps nu. Qu’est-ce qu’elles me plaisent ses fesses ! Qu’est-ce qu’il me plaît son zob ! Qu’est-ce que j’ai aimé être quasi violée par lui ! Parce que c’est un viol quand même… Il m’a pas demandé mon avis… Non, c’était pas un viol… Il a dû voir dans mes yeux, dès son entrée dans le cabinet aujourd’hui… ou même peut-être déjà la fois passée, que j’étais, et que je serais consentante !
Et c’est le jour du dernier rendez-vous. Il rentre calmement dans mon cabinet. Je ne lui dis rien, ne lui demande rien, mais il se fout à poil sans un mot… La bite dressée, il se dirige vers moi… me couche sur le bureau écarte mon tablier blanc, soulève ma jupe, arrache ma culotte, et me pénètre sans difficulté… Mon petit con n’attendait que ça ! Et cette fois, ça dure… Je sens les ondes de plaisir m’envahir… il est tendre, méthodique… Ses mains malaxent mes seins au travers de mon chemisier. Ça ne lui plaît pas ce tissu… Les boutons sautent, ses paluches glissent sous les bonnets et me titillent les tétons… Pourquoi, alors qu’elles ne font pas ça de façon différente aux autres mains, pourquoi me tétons réagissent-ils si fort, pourquoi communiquent-ils avec autant de force leur propre excitation à l’ensemble de mon corps… Je me sens partir, je ne sais plus très bien qui je suis, où je suis… Je sens et entend vaguement qu’il jouit… qu’il s’affale sur moi… Je comprends pas… Qu’est-ce qui s’est passé ?
Il s’essuie le tich, va prendre sa place dans le fauteuil, et attend mon arrivée près de lui… J’ai les jambes qui flageolent… J’arriverai pas à faire mon boulot aujourd’hui… Je le lui dis… Le rend coupable de ma situation… Un sourire… Il glisse sa main sous ma tenue débraillée et me flatte doucement les fesses…
- Mais si, ça va aller… me rassure-t-il.
Impossible de refermer mon chemisier qui n’a plus que deux boutons… j’envoie valdinguer ma culotte qui s’attachait à un seul de mes pieds… Et je me mets au travail, les nichons à l’air et le cul quasi nu…
Très classe, il me paie mes deux consultations, la précédente et celle-ci…
- Une visite de contrôle l’année prochaine ? me glisse-t-il en guise d’au revoir…

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